Le président français Macron, giflé, poursuit sa visite dans le sud et deux hommes sont arrêtés

Selon les médias européens, hier (8 juin), le président français Macron a été soudainement giflé par un homme dans la foule alors qu'il visitait le sud de la France. Il a scandé le slogan « À bas la macronie ».

Damien Tarel a été interpellé sur place pour "violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique", a indiqué la police citée par l'AFP. La police a révélé qu'un autre homme de 28 ans, interpellé au même moment et qui filmait la vidéo, était également résident de la Drôme.

La police a déclaré que les agents avaient fouillé leur domicile après l'incident. Tarel est un passionné de l'armée médiévale et a fondé un groupe d'arts martiaux traditionnels européens dans la région. Il n’avait pas de casier judiciaire avant cela.

Après l'incident, le président Macron a déclaré aux journalistes que l'incident de la gifle ne l'empêcherait pas de continuer à rencontrer le public lors de son inspection. "Je vais bien maintenant. Nous devons examiner cet incident, qui me semble isolé, correctement. Nous devons « Ne laissez pas les événements isolés, les individus extrêmement violents dominer le débat public. Ces choses n’en valent pas la peine. »

Après l'incident, les hommes politiques français ont pris la parole et condamné ce comportement de gifles. Le Premier ministre français Castex a déclaré à l'Assemblée nationale : « La démocratie est faite de débat, de dialogue, de confrontation d'idées et d'expression légitime des différences. En aucun cas, il ne peut s'agir de violence, d'agressions verbales et encore moins d'agressions physiques. »

Marine Le Pen, cheffe du Rassemblement national (Rassemblement national) et principale rivale d'Emmanuel Macron à l'élection présidentielle de 2019, a déclaré que l'attaque était « une attaque personnelle intolérable contre la République » qui doit être « très, très fermement condamnée ».

À l'heure actuelle, la police française a arrêté Tarel et un autre homme soupçonné d'avoir filmé la scène. Les deux hommes risquent trois ans de prison et 45 000 euros d'amende pour suspicion d'« atteinte intentionnelle à des personnes exerçant l'autorité publique ».

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