Le Times a rapporté mercredi que l'UE était prête à faire une « concession majeure » sur l'accord sur le Brexit, offrant à l'Assemblée d'Irlande du Nord un mécanisme pour se retirer du nouveau « backstop » après quelques années. )"arranger.
Mais le journal n'a pas révélé la source de l'information. Mais certains rapports confirment également qu’il n’y a pas de place pour des négociations sur le Brexit entre l’UE et le Royaume-Uni.
L'agence Reuters a cité le Times aujourd'hui, affirmant que l'accord de sécurité aux frontières vise à empêcher le rétablissement d'une frontière physique entre l'Irlande du Nord, qui appartient au Royaume-Uni, et l'Irlande, membre de l'UE. Les négociations sur l’accord sur le Brexit entre le Royaume-Uni et l’UE sont dans une impasse en raison des questions de sécurité aux frontières.
Selon certaines informations, le Premier ministre britannique Johnson aurait déclaré qu'il supprimerait la clause de sauvegarde des frontières et proposé que l'Irlande du Nord soit supervisée par l'Union européenne, que les contrôles douaniers soient effectués à l'extérieur de la frontière et que l'Assemblée d'Irlande du Nord ait le droit de voter sur les accords frontaliers. Cela remplacerait le soi-disant « backstop » à la frontière irlandaise qui, selon lui, est inacceptable pour la Grande-Bretagne.
Mais l'UE craint qu'un « oui » accordé à l'Irlande du Nord ne donne un droit de veto à l'allié de Johnson, le Parti unioniste démocrate (DUP). La nouvelle idée rapportée par le Times serait une version modifiée du principe de consentement.
Le Times cite des sources diplomatiques proches des négociations, affirmant que les gouvernements européens sont prêts à « permettre à l'Assemblée d'Irlande du Nord d'abroger unilatéralement le traité de retrait après un certain temps ». La date de 2025 a été incluse dans la discussion, à condition que les deux parties peuvent parvenir à un consensus sur le calendrier.
Selon un rapport publié mercredi par le Times, le Premier ministre britannique Johnson est confronté à de nouvelles défections au sein de son cabinet en raison d'un Brexit sans accord, et cinq ministres du cabinet seraient susceptibles de démissionner. Nicky Morgan, secrétaire d'État britannique au numérique, à la culture, aux médias et aux sports, Julian Smith, secrétaire d'État pour l'Irlande du Nord, Robert Buckland, procureur général adjoint du Royaume-Uni, Matt Hancock, secrétaire à la santé, et le procureur général Cox figuraient parmi les personnalités présentes. Les personnes impliquées (Geoffrey Cox) pourraient démissionner. Le rapport cite un ministre anonyme qui a déclaré que « de nombreux » députés conservateurs démissionneraient en cas de Brexit sans accord.
Norbert Roettgen, un proche allié de la chancelière allemande Angela Merkel, a déclaré que l'Allemagne n'avait pas de nouvelle position sur le Brexit. Il a déclaré sur Twitter : « Pour être franc, obtenir un accord sur le Brexit sur la base de la proposition de Boris Johnson d'ici le 31 octobre était irréaliste dès le départ...