L'agence de presse russe Sputnik a rapporté le 18:Le président français Emmanuel Macron a déclaré que la situation de la Turquie en Syrie était une erreur majeure de l'Occident et de l'OTAN.
À Bruxelles,"Ce qui s'est passé récemment est une erreur majeure de l'Occident et de l'OTAN", a déclaré Macron aux journalistes. "Je pense que cela va saper de manière permanente notre position auprès de nos partenaires dans la région et va également remettre en question le fonctionnement de l'OTAN"."
Le président turc Erdogan a annoncé le 9 octobre qu'il lancerait une opération militaire dans le nord de la Syrie pour combattre le Parti des travailleurs du Kurdistan et l'organisation terroriste État islamique. Le même jour, il a lancé des frappes aériennes sur des villes frontalières comme Ras al-Ain en Syrie. La province syrienne de Hasakah, suivie d'opérations terrestres. Le ministère turc de la Défense a déclaré le 12 octobre que l'armée turque et les forces de l'opposition syrienne avaient pris le contrôle de Ras al-Ain.
Le gouvernement syrien a condamné à plusieurs reprises la politique agressive de la Turquie dans le nord de la Syrie. La Russie a déclaré que la Turquie doit éviter toute action susceptible d'entraver la médiation dans le conflit syrien.
Le président français a souligné : « Il est donc nécessaire de se concerter et de coordonner nos actions. Au moins entre les trois pays européens (France, Allemagne et Royaume-Uni) et la Turquie. »
Macron avait précédemment déclaré que les dirigeants français, britannique et allemand prévoyaient de rencontrer le président turc à Londres la semaine prochaine.
Macarons non mentionnésLe président turc Erdogan et le vice-président américain Pence ont conclu un accord le 17 septembre selon lequel les forces kurdes devraient se retirer de la zone frontalière syro-turque dans les 120 heures suivant la suspension des opérations militaires de la Turquie. Les forces kurdes doivent se retirer de la zone de sécurité de 30 kilomètres située à la frontière turque. -Frontière syrienne.Consensus.