La France va prendre sa décision finale concernant l'interdiction des appareils Huawei

Le président français Emmanuel Macron a déclaré lors d'un appel téléphonique avec le président chinois Xi Jinping hier (22) que la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique sur la question de la 5G et était disposée à maintenir la communication avec la Chine. Nous espérons que les négociations sur l’accord d’investissement UE-Chine progresseront le plus rapidement possible.
Il semblerait qu'actuellement, seuls les européens Nokia, Ericsson et le chinois Huawei soient en mesure de fournir des équipements pour les réseaux 5G. Les États-Unis font pression sur leurs alliés pour qu’ils interdisent les produits Huawei pour des raisons de sécurité.

Poupart a déclaré que pour la France, une « bonne analyse » serait celle qui « montre précisément quels sont les risques » en fonction de la localisation régionale des équipements concernés. « On ne peut pas dire que certains sont malveillants et d’autres bien intentionnés, et certains de nos alliés en Amérique du Nord nous poussent à faire cette mauvaise analyse. Mais ce n’est pas une bonne analyse. » Il a également déclaré : « Il y a un problème géopolitique. Le conflit économique entre les États-Unis et la Chine est un sujet qui nous tient à cœur. Nous espérons ne pas devenir un spectateur sacrifié dans un tel conflit, mais bien défendre notre souveraineté et notre capacité de décision. La 5G n'est qu'un sujet. "Les informations ont déclaré que Le 22 janvier, à l'occasion du Nouvel An lunaire, le président chinois Xi Jinping a eu un entretien téléphonique avec le président français Macron, à la demande de ce dernier.

Selon Reuters, un document de l'Union européenne a présenté des recommandations non contraignantes sur les applications 5G, qui visent à répondre aux risques de cybersécurité aux niveaux national et européen, en particulier aux inquiétudes liées au chinois Huawei. Cette initiative fait partie d'une série de mesures prises par les États-Unis ont lancé un plan pour lutter contre la corruption, sans toutefois préciser quels pays ou quelles entreprises étaient visés. Le document indique que les pays de l’UE devraient évaluer ces risques au niveau national ou européen, fixer des limites pour les fournisseurs à haut risque et les exclure si nécessaire, afin de réduire efficacement les risques des actifs importants. Il a également été conseillé aux gouvernements de l’UE de diversifier leurs fournisseurs, de ne pas s’appuyer sur une seule entreprise et d’utiliser des facteurs techniques et non techniques dans leurs évaluations. Bien que les lignes directrices ne mentionnent aucune entreprise ni aucun pays en particulier, elles ont été rédigées alors que les pays de l'UE subissent la pression des États-Unis. Les États-Unis ont appelé à une interdiction des équipements Huawei, craignant que la Chine puisse les utiliser à des fins d’espionnage.

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