Selon un rapport préliminaire publié par le Comité régional du tourisme d'Île-de-France le 29, en raison de l'impact de l'épidémie de nouvelle pneumonie coronaire, le nombre de touristes accueillis par Paris et ses environs en 2020 a diminué de 65,4% par an. sur un an, et les pertes de revenus du tourisme ont dépassé 70,1 TP3T.
Le rapport montre que le nombre de touristes accueillis par Paris et ses environs a diminué l'année dernière de 33,1 millions pour atteindre seulement 17,5 millions, ce qui équivaut au niveau d'accueil touristique des années 1990. L'épidémie a notamment entraîné une réduction significative des voyages internationaux. L'année dernière, seuls 4,9 millions de touristes étrangers ont visité Paris et ses environs, soit une baisse de 78% par rapport à l'année précédente ; le nombre de touristes locaux français visitant Paris et d'autres régions était de 12,6 millions, soit une baisse de 56% d'une année sur l'autre.
La baisse du nombre de touristes et les mesures de confinement prises en réponse à l'épidémie ont entraîné des revenus de 6,4 milliards d'euros pour les secteurs tels que la restauration, l'hébergement, les transports et les musées à Paris et dans ses environs l'année dernière, soit une baisse de 15,5 milliards d'euros par rapport à l'année précédente. , une baisse de plus de 701 000 milliards d'euros. Parmi elles, les pertes touristiques causées par la diminution du nombre de touristes internationaux ont atteint 11,5 milliards d'euros.
Le rapport souligne qu'alors que la France souffre actuellement de la troisième vague de l'épidémie, l'industrie du tourisme à Paris et dans ses environs est restée très morose au cours des trois premiers mois de cette année.
Selon les rapports, l'épidémie en France est d'une gravité sans précédent. Au cours de la semaine précédant la fin du mois de mars, 30 000 à 60 000 personnes ont été infectées chaque jour et le nombre de décès a continué à s'élever à plusieurs centaines. Plus de 4 000 patients gravement malades ont provoqué la mort de 30 000 personnes. Les services de réanimation des principaux hôpitaux parisiens risquent de perdre leur capacité à continuer de soigner les patients. L'hôpital a même dû recourir à des hélicoptères pour transférer rapidement des patients gravement malades vers les villes environnantes.